Nous repartons dans diverses lectures qui ont été les miennes ces derniers temps.
rencontre, amour, famille
Résumé :
« Elle a lu la quatrième de couverture, a frissonné d'étonnement. Ce récit ressemblait à s'y méprendre à un épisode de son existence. Elle a déposé l'ouvrage sur le comptoir et est allée ouvrir la porte de la librairie. À neuf heures, les clients sont encore rares et, dans la lumière du matin qui glissait sur la vitre, elle a commencé à lire ce texte inattendu. »
Ceux qui en parlent :
Ce que je peux vous direc'est que ce roman fait un bien fou. Il est soigneusement bien écrit, il est solaire malgré la souffrance qui s'en échappe parfois et j'ai eu un plaisir intense à le lire. Quel soulagement que le titre soit à la hauteur du récit ! Quelle belle histoire ! Si vous avez besoin de sourire et d'être émerveillé par le quotidien, jetez-vous dessus sans hésitation, c'est une petite perle de douceur et de délicatesse.
Quant à moi :
Un livre que j'ai lu d'une traite. 146 pages bien écrites, bien construites. Une histoire qui ne tombe pas dans le patos. Très sympatique petit livre.
Policier
Résumé :
Lancé dans la traque d’un insaisissable psychopathe, le lieutenant Boris Berezovsky se retrouve pris au piège de son passé. Ou plutôt du passé de son père Vladimir, un juif russe échappé de l’enfer stalinien et devenu citoyen américain, qui se dit menacé par des services secrets étrangers. Boris découvre alors avec stupeur que Vladimir entretenait d’excellentes relations avec la bête noire de Poutine, son neveu Boris Berezovsky (homonyme de son fils), le célèbre oligarque, prétendument « suicidé » à Londres.
Ceux qui en parlent :
Le serial killer est un véritable tordu comme je les « aime », manipulateur, dérangé et dangereux. La police tourne autour sans pouvoir l'arrêter et j'ai apprécié ce jeu du chat et de la souris. L'aspect de l'histoire consacré à la famille de Boris est aussi captivant et offre une intrigue sur fond d'URSS. Au final, on ne s'ennuie pas une seule seconde, d'autant plus que les chapitres sont courts et le style dynamique. La fin m'a beaucoup plu aussi, je ne m'y attendais pas et je trouve qu'elle convient à ce type de roman.
Quant à moi :
Un livre très rhytmé, qui se lit avec beaucoup de plaisir, qui m'a tenu en haleine d'un bout à l'autre. Je me demande si une suite est prévue et si vous lisez le livre, vous comprendrez mon interrogation...!
Saga mères-filles
Résumé : Gardienne et témoin de l'histoire familiale ? une histoire de femmes, de soeurs, de mères ?, Blanche va en retisser tous les fils pour tenter de réparer le lien brisé avec sa propre fille, Violette.Un matin, très tôt. Le téléphone sonne. Blanche n'aime pas ça : les coups de fil au petit matin n'annoncent jamais rien de bon. Cette fois, pourtant, c'est une bonne nouvelle : Violette a accouché dans la nuit d'un petit garçon. Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte.
Ceux qui en parlent :
ce sont des personnages forts, touchants, attachants et je les ai beaucoup aimées.
L'auteur narre l'histoire d'une famille, mais aussi d'un lieu et d'une époque. Elle a fait vibrer bien des cordes sensibles en moi. Je n'ai pas pu lâcher ce livre et il résonnera encore longtemps dans mon coeur et ma mémoire.
Je l'ai adoré.
Quant à moi :
Un livre touchant tant par les personnages que par le récit. un livre bien rythmé au cours duquel je ne me suis jamais ennuyée, voire, au cours duquel j'ai pris beaucoup de plaisir.
Résumé : Les endroits les plus sombres de l'enfer sont réservés aux indécis qui restent neutres en temps de crise morale.
Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard, se réveille en pleine nuit à l'hôpital. Désorienté, blessé à la tête, il n'a aucun souvenir des dernières trente-six heures. Pourquoi se retrouve-t-il à Florence ? D'où vient cet objet macabre que les médecins ont découvert dans ses affaires ? Quand son monde vire brutalement au cauchemar, Langdon va s'enfuir avec une jeune femme, Sienna Brooks. Rapidement, Langdon comprend qu'il est en possession d'un message codé créé par un éminent scientifique - un génie qui a voué sa vie à éviter la fin du monde, une obsession qui n'a d'égale que sa passion pour l'une des œuvres de Dante Alighieri : le grand poème épique Inferno.
Ceux qui en parlent :
Et si c'était un vrai problème dont personne ne se soucie actuellement ?
J'ai été marqué par les motivations du « méchant » dans cette histoire, qui se considère comme le sauveur de l'humanité, un héros ! Son objectif consiste à répandre un virus afin d'annihiler une grande partie des êtres humains de la planète pour limiter la croissance démographique meurtrière qui nous emporte irrémédiablement vers notre fin.
La démonstration de Dan Brown sur les problèmes démographiques de notre planète fait froid dans le dos. Un peu comme Al Gore, à l'époque, avec sa démonstration implacable sur le réchauffement de la planète et ses conséquences.
Quant à moi :
Trop noir, trop de morts, pas assez d'espoir, pas un livre pour moi... Après je comprends très bien que ça puisse plaire à un grand nombre, juste une affaire de gout.
Nous voici à la fin de notre rencontre mensuelle et si vous le souhaitez, nous nous retrouverons dans un mois pour d'autres lectures, aimées ou non.
Je vous embrasse toutes très amicalement.