Bonjour à vous toutes qui passez par ici !
Comme chaque mois je vous propose 4 nouvelles pistes pour vos lectures et j'espère que vous en trouverez à votre gout
Résumé :
"Alors que j'étais inconsolable, il m'avait mise sur le chemin du deuil de mon mari. J'avais fini par me sentir libérée de lui aussi. J'étais prête à m'ouvrir aux autres."
Depuis un an que Diane est rentrée d'Irlande, elle a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l'aide de Félix, elle s'est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire.
C'est là, aux "Gens heureux lisent et boivent du café", son havre de paix, qu'elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné, et surtout il comprend son refus d'être mère à nouveau. Car Diane sait qu'elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.
Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s'effondrer les unes après les autres.
Aura-t-elle le courage d'affronter un autre chemin ?
Ceux qui en parlent :
Un roman qui fait du bien, plein de bons sentiments et de rebondissements mais qui réchauffe. Un amour perdu, une cicatrice qui a du mal à se refermer, mais des personnages authentiques, entiers et prêts à tout pour avancer... Un grand merci à Agnès Martin-Lugand pour cette suite qui nous permet de lâcher la main de Diane, en lui souhaitant tout le bonheur du monde...
Quant à moi :
Un livre épatant qui est une suite comme dit précédemment. Les commentaires sont tous enthousiasmes sur Babelio. Je ne vais surement pas vous dire que je n'ai pas aimé ce second volet mais je l'ai trouvé moins fort, plus convenu, sans grandes surprises. Il n'en demeure pas moins vrai que ça reste un très bon roman. Avec une vraie histoire de fond, des personnages toujours attachants. L'écriture de cette autrice est très accessible, fluide et elle sait parfaitement nous décrire les sentiments de ses protagonistes.
1987. Abby a besoin de souffler. Depuis qu’elle essaye désespérément de tomber enceinte, ses relations avec son mari sont de plus en plus tendues. Alors, sur un coup de tête, elle fait ses valises pour la région de Cork, en Irlande, à la recherche de sa mère Caitlin, qui l’a abandonnée quand elle était bébé. Mais en retrouvant Caitlin,elle découvre aussi une valise remplie de cassettes audio enregistrées par sa grand-mère, Lucy. Celle-ci y raconte sa vie d'Irlandaise émigrée à New York au début du XXe siècle. Une histoire qui pourrait bien changer le cours de la vie d’Abby... Ce voyage sur la terre de ses ancêtres lui permettra-t-il de faire la paix avec elle-même ?
Dénouant les fils de leur existence, cette rencontre pourrait bien prendre une tournure inattendue et leur permettre de faire la paix avec leur passé afin d'imaginer à nouveau l'avenir.
Même si le roman est centré sur Capucine et Adrien, d'autres personnages prennent aussi la parole pour apporter leur contribution à l'histoire (un autre regard sur les événements, des éléments qui ne peuvent être connus des deux héros…). du coup, le récit m'a semblé un peu trop morcelé avec ses chapitres courts et ses nombreux changements de points de vue.
L'auteur nous donne aussi quelques nouvelles d'Edouard, rencontré dans "Se le dire enfin", par le biais du couple Diderot, les deux psy qui suivent Adrien et Capucine. J'aime beaucoup ce genre de clins d'oeil qui donne l'impression que l'auteur tisse tout un univers à travers ses romans.
J'ai passé un bon moment, mais je ressors quand même de ce roman avec l'impression c'est un peu trop facile, trop sucré…
En 1970, dans cette société française qui change, où les femmes s'émancipent tandis que les hommes perdent leurs repères, les trois soeurs vont, chacune à sa façon, trouver comment vivre une vie à soi, une vie forte, loin de la morale, de l'éducation ou de la religion de l'enfance.
Cette saga familiale, qui nous entraîne de l'après Mai 68 à la grande nuit du 10 Mai 1981, est tout autant une déambulation tendre et tragique dans ce siècle que la chronique d'une époque où les consciences s'éveillent au bouleversement du monde et annoncent le chaos à venir.
Mais ce qui m'a le plus marquée, c'est la présence de cette religion qui maintient les gens et notamment les femmes dans un rôle secondaire, un rôle de domesticité pure et simple les empêchant tout bonnement de vivre leur vie et leur sexualité, les bloquant dans leur épanouissement.
Pays de Cornouaille, Finistère. Moins de trois ans après son mariage, Anna est veuve et reprend à son compte la ferme de Menez Glaz avec l'aide de son beau-père, Tad Kermorvan, mémoire vivante d'une génération de cultivateurs. Anna suscite bien vite des convoitises. A commencer par celles du voisin, Armand Salaun, coureur de jupons invétéré et important éleveur de porcs, à l'affût de nouvelles terres où épandre son lisier...
A ces premiers tourments s'ajoutent, pour Anna, sa lutte incessante contre un système agricole productiviste qu'on veut lui imposer, les jalousies et les rancœurs familiales et surtout, pour cette jeune femme née de père inconnu, l'angoisse lancinante de découvrir un jour à qui elle doit la vie...
Pays de Cornouaille, Finistère. Moins de trois ans après son mariage, Anna est veuve et reprend à son compte la ferme de Menez Glaz avec l'aide de son beau-père, Tad Kermorvan, mémoire vivante d'une génération de cultivateurs. Anna suscite bien vite des convoitises. A commencer par celles du voisin, Armand Salaun, coureur de jupons invétéré et important éleveur de porcs, à l'affût de nouvelles terres où épandre son lisier...
A ces premiers tourments s'ajoutent, pour Anna, sa lutte incessante contre un système agricole productiviste qu'on veut lui imposer, les jalousies et les rancœurs familiales et surtout, pour cette jeune femme née de père inconnu, l'angoisse lancinante de découvrir un jour à qui elle doit la vie...